Église des Frères Prêcheurs © Amanda Antunes
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Église des Frères Prêcheurs © Aurore Valade
Ketuta Alexi-Meskhishvili, Vine, de la série « Georgian Ornament », 2020-2021 / Galerie Frank Elbaz
Ilanit Illouz, Wadi, de la série « Les Dolines », 2016-2021
Jonas Kamm, de la série « The Inhabitants », 2020
Marie Tomanova, In Dad’s Sweater (All That Is Left), from the series « It Was Once My Universe », 2018-2019
Andrzej Steinbach, de la série « Der Apparat », 2019 / Galerie Conradi
Aykan Safoglu, film Hundstern steigt ab, 2020 / The Pill
Tarrah Krajnak, Self-Portrait as Weston/as Bertha Wardell, 1927/2020, from the series « Master Rituals: Weston’s Nudes », 2020
Farah Al Qasimi, S and A on the Phone, de la série « Imitation of Life » / Courtesy of The Third Line and Helena Anrather
Zora J Murff, Intersection, de la série « At No Point In Between », 2019 / Webber Gallery
Mariana Hahn, vue de exposition Eros and Thanatos Made a Child, Foto: Chroma
Massao Mascaro, de la série « Sub Sole », 2017-2021
Le choix des artistes retenus pour le Prix Découverte Louis Roederer répond cette année au désir d’une exposition collective dans laquelle un large spectre de propositions entreront en résonance.
Les onze projets, sélectionnés parmi de nombreuses candidatures pour beaucoup européennes, rendent compte d’une volonté d’interroger et repenser les techniques et les genres et témoignent d’une préoccupation pour le corps, son ancrage dans le monde, autant que pour la matérialité de la photographie.
Photographes, vidéastes, plasticiens, archivistes, explorateurs d’outils numériques, ces artistes proposent des récits, personnels, collectifs ou transgénérationnels, réels ou fantasmés ; bousculent le médium par une mise en abyme de ses procédés, de ses canons et de ses gestes ; le font déborder dans l’espace physique ou a contrario dans le virtuel. Leur engagement et leurs perspectives sur leur environnement se traduisent tantôt par l’abstraction et l’invention de dispositifs, tantôt par le déploiement narratif, révélant une humanité à la fois mobile et sous tension.
Scénographie : Amanda Antunes
Production : Annaëlle Veyrard